Suite à l’accident survenu à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi en mars 2011, le Conseil européen a annoncé que la robustesse de toutes les centrales nucléaires européennes devait être réexaminée à titre préventif.
Le programme des stress tests mis en place à cette occasion a eu pour but de réévaluer les marges de sûreté des centrales nucléaires en cas d’événements naturels extrêmes (séismes, inondations, conditions météorologiques extrêmes…).
A la demande du Parlement belge, la portée des tests de résistance menés en Belgique a été étendue à d’autres menaces potentielles liées aux activités humaines (gaz toxiques et explosifs, ondes de choc) et à des actes malveillants (cyber-attaque, chute d’avion).
Le Parlement belge a également demandé que les autres établissements nucléaires belges de classe I encore en exploitation (c’est-à-dire autres que les centrales nucléaires) soient inclus dans la démarche des tests de résistance.
Les résultats de ces tests de résistance sont publiés dans des rapports.